Le printemps 2020, des intérieurs imposés… alors que la nature entame son cycle de renaissance.
Pour Arlette c’est également le temps du renouveau avec cette envie forte de peindre, de préparer cette exposition à venir et de s’évader grâce à son pinceau et ses pigments.
Les huiles viennent à manquer, et l’envie de peindre encore et encore, de travailler ses portraits est plus forte que tout.
Dans un coin de l’atelier ces fameux tubes d’acrylique toujours un peu mis de côté, un peu dénigrés, un peu déstabilisants. Alors l’idée fait son chemin pourquoi ne pas tenter.
Le geste est léger, les couches se superposent autrement, différemment, légèrement les visages et portraits de femmes naissent sous les coups de pinceaux. Les portraits s’échappent naturellement c’est une évasion libératoire.
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